x : 838,64 y : + 104,71 z : 626 m DESCRIPTION L'entrée est un petit ressaut de 5 m accolé au talweg du ravin de la Grande Combe. Ce ressaut est suivi immédiatement d'un puit de 8 m. (Le puits des Tégévés). Quelques départs sans suite accompagnent cette verticale. A la base du puits, un ruisseau temporaire dont l'amont arrive par des étroitures infranchissable se jette dans les éboulis. Le méandre qui fait suite au puits, long d'une vingtaine de mètres est relativement spacieux. A mi parcours du méandre, un regard vertical prolongé d'un petit méandre permet d'atteindre une remontée arrosés sans suite. Après le méandre de 20m débute le méandre des 400 coups. Ce méandre long de 50 m fut dans sa majeure partie agrandi artificiellement. Il débouche dans le saut de la Puce, petite verticale de 5m. A la base de ce puits, nous sommes enfin dans du gros volume. Plusieurs remontée (appelé le réseau des Monts) se présentent. Elles s'arrêtent toutes sur étroitures. Elles sont agrémentées de magnifiques rognons de silex. L'aval du saut de la Puce, donne directement dans le saut de l'Ange. C'est un vaste puits de 14 mètres au départ étroit. A sa base débute le méandre de Second Souffle, long de 40m. Il a nécessité quelques agrandissements ponctuels. Son parcours reste néanmoins pénible avec un kit. Il finit par le saut de Géant ( appelé ainsi non pas par sa taille qui est de 3 mètres, mais par la suite de la cavité qui est monstrueusement grande). Cette suite commence par la salle du Troisième Type dont plusieurs remontées d'une vingtaine de mètres ont été tenté. Ensuite nous trouvons la galerie Gigue long environ 80 mètres, dont la largeur varie de 3 à 5 mètres pour une hauteur de 2 à 4 mètres et agrémenté de quelques belles concrétions. La galerie Gigue se termine sur un petit méandre obstrué que deux séances de désobstruction ont permis de voir la suite. La sortie du méandre tombe dans une majestueuse salle (Salle de la Quatrième Dimension) circulaire et arrosée. Une remontée sur le côté de la salle a été effectuée, elle est sans suite. Une remontée au milieu de la salle se poursuit et nous sommes encore en exploration dans cette partie. A l'aval de la salle, la galerie se poursuit toujours aussi grande. Elle se nomme la galerie Hantesque. Quelques passages sont néanmoins plus étroit à cause de blocs effondrés. Au bout de 200 m la rivière temporaire que l'on suit depuis la base du saut de l'Ange disparaît dans le méandre en forme de trou de serrure. Nous la retrouvons 50 mètres plus loin. Peu après, une nouvelle étroiture fait obstacle. Quoique peu sympathique, elle se franchit aisément. Derrière, la galerie se poursuit encore toujours aussi large. Après une descente en pente douce, la morphologie de la galerie change. De la boue recouvre l'ensemble de la galerie, « Ca sent le siphon » Et effectivement, nous débouchons sur un petit siphon que l'on espère vidanger si un été sec se profile à l'horizon. -Merci à Jacques pour ce descriptif -
|